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R. comme Résilience

 

Le fil conducteur de ce site est le commentaire du nom de notre asbl:

 

Prévention, Recherche et Formation : Emprise et Résilience

 

Trois missions, deux thèmes. Le second thème de PREFER asbl est la résilience, sur laquelle nous avons édité un certain nombre d'articles dont la liste suit.

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Notre objectif en éditant ces articles est d'apporter au lecteur de notre site qui serait concerné par une des dérives possibles de l'emprise, de premières pistes de réflexion et d'action en amont d'une éventuelle consultation.

  

Quelques articles publiés sur notre site

  

  

Le modèle criminologique définit trois niveaux de prévention. Nous référant au modèle médical, nous en définissons quatre, ceci afin de donner une place distincte à la question du deuil.

  

  

Le traumatisme est une rupture du sentiment de continuité de l’existence. Cette rupture a toujours une cause externe et une cause interne. On peut repérer quatre catégories de causes externes: une coupure (traumatisme de type I), une usure (traumatisme de type II), une pression ou une tension.

  

  

Le concept de résilience est à la mode, mais que signifie-t-il au fond? Amal Toufik en rappelle quelques définitions.

  

  

Les «tuteurs de résilience» sont des éléments ou des personnes qui soutiennent et favorisent le processus de résilience. Ils peuvent être:

•    Symboliques = valeurs, croyances, rituels.

•    Concrets = relations humaines, soutien social.

•    Institutionnels = structures éducatives, thérapeutiques.

Ils aident la victime à reconstruire du sens et à se projeter positivement dans l'avenir.

  

  

Les traumatismes, qu'ils soient personnels ou collectifs, peuvent être des facteurs contributifs à la radicalisation. Comprendre cette dynamique est crucial pour prévenir et intervenir efficacement.

  

  

La radicalisation peut découler de situations où une personne reçoit des messages contradictoires, créant une confusion mentale. Ce phénomène, appelé double bind (ou double contrainte), fait perdre tout esprit critique. Il faut donc s’en dégager.

  

  

Les familles confrontées à des situations de dérive de l'emprise ou de radicalisation vivent une forme de traumatisme qui les plonge dans la confusion. Les soutenir est essentiel si l’on veut avoir une action préventive sur les personnes radicalisées.

  

  

Les traumatismes peuvent se transmettre d'une génération à l'autre, influençant les comportements et les perceptions. Prendre en compte cette dimension est important dans le processus de résilience.

  

  

Ces trois sentiments ont des implications psychiques distinctes:

•    Culpabilité = sentiment ressenti après une transgression réelle ou perçue.

•    Responsabilité = reconnaissance de ses actes et de leurs conséquences.

•    Honte = sentiment profond lié à la perception de soi et de sa valeur propre.

Tous trois sont en jeu dans une résilience réussie.

  

   

Le récit d'un traumatisme peut prendre deux formes : victimaire, c’est-à-dire centré sur la souffrance et la plainte, et judiciaire, c’est-à-dire structuré pour être recevable devant la justice. Il est important de distinguer ces récits pour éviter les malentendus et favoriser une réparation adéquate.

  

Quelques articles de Jean-Claude Maes consacrés au traumatisme, disponibles sur CAIRN

  • «La famille face à la radicalisation d’un de ses membres», in Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux 2019/2 (N°63)

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