top of page

F. comme Formation

 

Le fil conducteur de ce site est le commentaire du nom de notre asbl:

 

Prévention, Recherche et Formation : Emprise et Résilience

 

Trois missions, deux thèmes. La troisième mission de PREFER asbl est la formation. Ce qui se traduit par diverses activités rencontrant la mesure M2.1 du Plan Global de Sécurité et de Prévention 2021-2024.

  

Jean-Claude Maes a organisé, de 2016 à 2019, un certain nombre de séminaires de SOS-Sectes asbl, entre autres sur le radicalisme, auxquels nous collaborons activement depuis notre fondation. Nous nous sommes avisés que des services de «première ligne» pouvaient avoir besoin d’une autre formule qu’un séminaire, à savoir une formation:

   

  1. en leurs murs et avec toute l’équipe, de façon à coconstruire une approche commune;

  2. constituée de petits modules c’est-à-dire de demi-journées autour d’un thème à la demande;

  3. saupoudrée de séances de supervision de cas, soit en deuxième partie de module, soit à d’autres moments sur demande.

 

Une subvention de la Région de Bruxelles-Capitale nous permet, depuis le 8 novembre 2018, d'offrir ce service gratuitement. Les services intéressés trouveront ci-dessous un lien vers une liste de neuf thèmes que nous leur proposons, mais elle n’est pas exhaustive, c'est pourquoi il ne faut pas hésiter à nous en proposer d'autres. Nous reconnaîtrons que nous sommes incapables de répondre à une demande si c’est le cas.

Le PGSP 2021-2024, sensible aux difficultés des services de première ligne de la Région de Bruxelles-Capitale actifs en prévention de la polarisation, a fait évoluer notre offre de supervisions vers une plus grande indépendance à l'égard des modules de formations courts.

Formation qualifiante à la psychothérapie de l’emprise et/ou à la prévention de la polarisation et de la radicalisation

 

Il n’y a pas un «djihadisme» mais un certain nombre de radicalisations qui ne se limitent d’ailleurs pas à l’islamisme (qu’on pense à l’extrême-droite). Elles concernent les jeunes (et les moins jeunes) qui se laissent embrigader, mais aussi leurs familles. Quand les uns ou les autres arrivent en psychothérapie, l’approche «généraliste» s’avère le plus souvent inadéquate. C’est également vrai dans le cas des groupes sectaires, des violences physiques et morales, des perversions sexuelles et narcissiques, etc.

   

Jean-Claude Maes s’appuie sur une longue expérience en tant que psychothérapeute spécialisé dans la problématique d’emprise pour proposer à ses pairs une formation d'un an, ciblée, susceptible de compléter leurs savoirs et surtout leur savoir-faire. Cette formation peut s’avérer particulièrement adéquate pour les intervenants psycho-médicaux-sociaux désireux de s’investir dans la prévention de la radicalisation et/ou l’aide à la «déradicalisation», mais également pour d’autres intervenants qui s’intéressent aux dérives de l’emprise dans un contexte plus large.

bottom of page