

L’association s’est donné pour objectif d’assurer des activités
d’étude et de prévention des dérives de l’emprise
Supervisions individuelles
et de groupe
cliniques et institutionnelles
L'expérience montre que
si la théorie est nécessaire,
le plus décisif
est l'analyse de situations concrètes
Modules de formation courts
En vos murs, si vous le désirez,
et avec toute l'équipe, de façon
à coconstruire de bonnes pratiques.
Modules de petite taille, sous la forme
d'une demi-journée
autour d'un thème à la demande.
Accompagnés de séances de supervisions
Consultations psychologiques
Nous sommes une équipe de psychologues, ayant développé une expertise concernant les dérives de l'emprise en général, la polarisation et la radicalisation en particulier.
Groupes de parole
Nous organisons des groupes d'entraide
qui s'adressent aux proches d'adeptes
et aux ex-adeptes de groupes sectaires,
de groupes «radicalistes» et de «sectes à deux»
(ou victimes de perversion narcissique).
Emprise et polarisation
Emprise et radicalisation
Emprise et résilience
Il existe une emprise saine qui fonde le lien, une emprise déviante qui le détruit.
EMPRISE ET
POLARISATION
Une étude a montré que les fausses informations circulent six fois plus vite sur le web que les vraies. Il est plus question, dans ce type de discours de reconnaître ses semblables que d'être objectif.
On appelle polarisation la dérive faisant que l'autre n'est plus seulement
un étranger mais un ennemi.
EMPRISE ET
RADICALISATION
L'image de l'ennemi est une
construction mentale et plus précisément une caricature de l'autre, et quand on donne dans cette dérive, on devient
soi-même une caricature, capable de tous les extrêmes incluant ceux de la violence morale et/ou physique. C'est très perturbant pour les proches, qui
peinent à y reconnaître les «vrais»
traits de la personne.
EMPRISE ET
RESILIENCE
Ces dérives causent de nombreux
dégâts, y compris du côté des «coupables». Nous mettons le mot «coupable» entre guillemets parce que parfois, le coupable au sens pénal est victime au sens psychique, soit qu'il ait été manipulé, soit qu'il présente des symptômes de stress post-traumatique. En tout cas, il ne nous appartient
pas de juger, mais d'aider
7 et 8 novembre 2022
Colloque POURQUOI LA GUERRE ?
avec entre autres :
Pierre BENGHOZI, Robert-Dany DUFOUR,
Pierre HAZAN, Ali LAÏDI, Robert NEUBURGER
Bloquez les dates!
En raison des mesures de distanciation d'application dans le cadre
de la pandémie de Covid-19, nous vous proposons également des
consultations, des supervisions et des formations
par vidéo-conférence
Pour toute information à ce sujet : contact@preferasbl.com
«Pourquoi la guerre?», telle est la question que se pose Einstein en 1932, et qu’il partage avec Freud à la demande de la Commission internationale de coopération intellectuelle. Ce qui aurait pu être un long échange épistolaire se limitera finalement à deux lettres publiées en 1933. Le 10 mai 1933, les nazis organisent des autodafés de livres incluant l’opuscule composé de ces deux lettres. Ce qui ne l’a pas empêché d’être fréquemment réédité, dans un grand nombre de traductions, dont cinq au moins en français.
Einstein se demande s’il y a «un moyen de délivrer l’humanité de la menace de la guerre», postule «une pulsion de haine chez les hommes» et met ses espoirs dans le droit. Freud répond que dans la mesure où le droit est «la force d’une communauté», il ne peut lui-même «s’exercer sans violence». Il évoque, en miroir d’Einstein, une «pulsion de mort» pouvant impliquer que «l’être vivant préserve pour ainsi dire sa propre vie en détruisant celle d’autrui». Au total, il avoue une relative impuissance. Pour lui, «tout ce qui promeut le développement culturel œuvre du même coup contre la guerre».
Nonante ans plus tard, nous nous reposerons la même question qu’Einstein et Freud, telle qu’elle se déploie dans la communauté internationale, dans les institutions, dans les familles, dans les couples, pour tout un chacun, ceci en nous appuyant sur des disciplines aussi variées que la philosophie, l’anthropologie, les thérapies familiales systémiques et psychanalytiques, les sciences politiques, l'histoire, la linguistique, les médiations familiales et internationales. Nous en appellerons même au théâtre. Notre propos s’adresse donc à un large public (suite du texte).



